Leonard - {'cause everything is breaking down, now, since you've been gone... }
Auteur
Message
Leonard Willoughby
My Own Private Idaho
Messages : 262 Date d'inscription : 19/07/2010 Age : 38 Statut : Célibataire
Curious, a bit ? Logement : Cedar Creek Relationships :
Sujet: Leonard - {'cause everything is breaking down, now, since you've been gone... } Lun 19 Juil - 23:19
DANS-JEU ;L'imagination gouverne le monde (Napoléon)
...
IDENTITY CARD
NOM : WILLOUGHBY PRENOMS : Leonard DATE (Âge) & LIEU DE NAISSANCE (Etat) : 26 Novembre 1985 (25 ans), RCF (Idaho) TAILLE & POIDS : 1.80, N/A. EMPLOI/ETUDES : GROUPE : The Farmers
WRITE TIL THE INK FADES —
Le soleil se couchait sur Ruby Creek Falls, et Leonard sorti sur le porche, un verre à la main. Il s’accouda sur la rambarde qui courait tout le long du patio, et laissa son regard se perdre sur l’étendue des champs de blé qui bordaient sa vieille maison. Le soleil nimbait l’horizon d’un halo doré, les blés, déjà hauts (il faudrait bientôt penser à la moisson) ondulaient doucement sous la brise tiède, dernier vestige de ce qui avait été une très chaude journée d’été. Aled était au lit, la ferme était calme, hormis le meuglement tranquille des vaches, plus loin, dans leur enclos. La journée avait été chargée, la saison battait son plein et il y avait largement de quoi faire. Leonard assurant une grosse partie du travail tout seul, ses journées débutaient à l’aube et se poursuivaient en général jusqu’à la tombée de la nuit… Il savait apprécier à leur juste valeur ces quelques instants de calme volés ici et là. Le problème, c’est que c’était précisément pendant ces rares moments de tranquillité que son esprit trouvait le temps de remuer d’autres souvenirs, moins plaisants ceux là, d’autres soirées d’été où ils avaient été deux sous ce porche.
Il avait beau essayer de bloquer le passage aux souvenirs, il savait bien que c’était un combat perdu d’avance. S’il devait vivre toute sa vie avec cette absence, renier leur existence ne ferait qu’empirer les choses. Il fit quelques pas pour s’assoir sur les marches baignées de soleil, embrassant du regard la cour de la ferme où il avait grandit. Son vieux pick-up rouge à la carrosserie toute cabossée était garé dans l’allée, les fenêtres encore ouvertes pour faire entrer un peu de fraîcheur. Quelques poules échappées picoraient au hasard au milieu des gravillons. Sous le pommier, la vieille balançoire en bois qu’il avait construite avec son frère se balançait au vent, et Berlioz, le gros chat tigré d’Aled, faisait sa toilette dans un coin d’ombre. Leonard posa sa bouteille et appuya ses mains derrière son dos, offrant son visage aux dernières lueurs du soleil. Il entendit un bruit arriver de l’intérieur de la maison, puis la moustiquaire grinça sur ses gonds et quatre pattes griffues s’avancèrent doucement sur le vieux plancher du porche. Il était impossible à Max, son vieux retriever patachon, de rester 5 minutes sans avoir son maître à portée de vue. Le chien s’effondra avec un bruit sourd et vient poser sa truffe sur la main de Leonard, réclamant des caresses. Caressant la tête de son chien d’un air absent, Leonard se laissa finalement emporté par ses souvenirs, vers la seule personne qui semblait les hanter...
Aussi loin qu’il s’en souvienne, Leonard avait toujours eu l’impression de connaitre Tallulah. Qu’elle soit a des kilomètres, ou dans ses bras, qu’ils soient brouillés ou les meilleurs amis du monde, Tallulah avait toujours été là. Depuis leur plus jeune âge, ils avaient toujours été fourrés l’un avec l’autre, lui chez elle, elle chez lui. Ils jouaient ensemble, dormaient ensembles, passaient tout leur temps libre ensemble. Elle faisait les 400 coups, et il la tempérait. Il était toujours la tête perdue dans les nuages, et elle lui ramenait les pieds sur terre. Il lui était presque impossible de se souvenir d’à quoi ressemblait sa vie avant qu’elle n’y fasse irruption, de la manière la plus improbable qu’il soit, comme toujours quand il s’agissait de la jeune fille…
Citation :
Il avait 8 ans, Aled en avait 5, et ils s’étaient aventurés dans forêt lors d’une de leurs nombreuses excursions entre frères. Emportés comme ils l’étaient par leur imagination et leurs jeux de rôles, ils s’étaient enfoncés plus loin qu’ils n’avaient jamais été, et même s’il tentait de faire bonne figure face à son jeune frère, Leonard n’en menait pas large. Il avait l’habitude de la forêt, ayant grandit à Ruby Creek Falls, c’était un de ses terrains de jeux favoris, mais cette fois ci, aucun de ses repères habituels ne semblait se manifester. Pris comme il l’était par son jeu, Aled ne se rendait pas compte du danger et continuait à mimer le bruit d’un hélicoptère, sautant entre les branches et les troncs tombés à terre.
Leonard commençait à réellement s’inquiéter de ne pas retrouver son chemin, et la perspective de l’engueulade que son père ne manquerait pas de lui passer si toutefois il arrivait à rentrer à la ferme lui donnait des sueurs froides. Il repéra un bouleau qui lui semblait étrangement familier – il l’avait déjà dépassé une demi-heure plus tôt. Il était sur le point de rappeler Aled, qui s’éloignait dangereusement, pris dans sa fusillade imaginaire, quand un sifflement sourd le figea sur place. Il senti quelque chose voler tout près –trop près- de son visage, soulevant les boucles châtain qui lui tombaient sur le front, et il eut à peine le temps d’enregistrer l’appel d’air avant que la flèche viennent se ficher d’un claquement sec dans le tronc épais d’un chêne, à quelques centimètres du visage d’Aled. Surpris, et apeuré, le petit garçon se mit aussitôt à pleurer, laissant tomber le bâton qu’il tenait dans ses mains.
L’attirant contre lui d’un geste protecteur, Leonard se retourna vivement pour identifier d’où venait le danger, et c’est ainsi qu’il posa les yeux pour la première fois sur Tallulah Blackfeet, tout juste 9 ans à l’époque, et le sourire espiègle qui deviendrait par la suite son trait préféré chez elle déjà fermement collé au visage. Elle abaissa l’arc aussi grand qu’elle qui lui avait servi à envoyer la flèche et son sourire s’effaça devant les pleurs du petit garçon. Visiblement mal à l’aise, elle l’observa un instant avant de se précipiter à sa rencontre, s’agenouillant devant lui pour se mettre à sa hauteur et le rassurer. Leonard, ne lâchant pas prise sur son jeune frère, qui avait blotti sa tête dans son sweat-shirt pour se cacher de l’inconnue, en profita pour observer la petite fille. Il n’avait jamais vu une Indienne de si près, et il fut fasciné par sa peau mate, ses longs cheveux d’un noir profond et ses grands yeux sombres si différents de sa propre peau pâle et de ses yeux clairs.
Aled s’arrêta de pleurer et sorti la tête de l’épaule de son frere visiblement intrigué. Il décrocha un grand sourire édenté à Tallulah, jetant un œil à son frère pour guetter son approbation. Quand Leonard lui indiqua que tout allait bien, Tallulah leva les yeux vers lui et lui sourit à son tour, les yeux pétillants.
Jamais Leonard n’oublierait cet instant, et à partir de ce jour, ils ne s’étaient plus quittés
.
Les années avaient passé, pas forcément toutes roses en ce qui concernait le jeune homme. Son père, qui ne s’était jamais vraiment remis de la mort de sa mère, avait sombré de plus en plus dans l’alcool, reléguant une grosse partie de son travail et de ses responsabilité sur le plus vieux de ses fils. Leonard avait pour ainsi dire élevé son petit frère, qui n’avait plus aucun souvenir de leur mère, morte dans un accident de voiture quand il avait à peine 2 ans. Pour autant, Leonard n’était pas du genre défaitiste : au contraire, il voyait toujours la vie du bon côté et s’efforçait d’apprécier la beauté dans les plus simples détails. Il avait toujours été un garçon agréable, doux, serviable et très aimable, toujours près à aider quiconque sollicitait son aide, et les années ne le changèrent pas. Il était très bon élève, avec un don tout particulier pour le chant, qu’il avait pour passion. A 14 ans, il s’imaginait déjà partir dans une fac, après avoir obtenu son diplôme, et transformer sa passion en métier, mais c’était sans compter sur le nouvel événement tragique qui allait bouleverser sa vie, ses plans, et changer son avenir et celui de sa famille. Le jour de son 16e anniversaire, il reçu les clefs de son pick-up, et sa première excursion fut un weekend de camping entre frères avec Aled, dans les montagnes. Ce qu’il n’avait pas prévu dans son programme, ce fut le conducteur qui perdit le contrôle de son véhicule, heurtant son pick-up de plein fouet côté passager, et projetant Aled vers le tableau de bord. A tout juste 13 ans, Aled perdit définitivement l’usage de son corps des pieds jusqu’à la nuque, le condamnant à vie au fauteuil roulant. Leonard s’en sortit indemne, mais ne se le pardonna jamais.
Son père disparut à son tour un an après, victime des ravages de l’alcool, laissant Aled et sa ferme à la charge de Leonard, qui dut se résoudre à abandonner ses rêves de partir à la fac, d’obtenir son diplôme ou même de quitter Ruby Creek Falls.
Pendant toutes ces années, et à travers toutes ses épreuves, il avait toujours pu compter sur le soutien de Tallulah, qui avait vécu le drame de l’accident d’Aled, dont elle avait toujours été très proche, comme un véritable déchirement. Et puis, en vieillissant, elle était également devenue son point de repère d’une vie adolescente normale : elle, qui s’était transformée en une magnifique jeune femme, attirante, envoutante et sexy, voletait de petit-ami en petit-ami, ne laissant aucun garçon indifférent à ses charmes. Il n’avait ni le temps, ni l’inclination de l’imiter, tout timide qu’il était, mais ne pouvait s’empêcher de voir d’un mauvais œil ses garçons mal intentionnés qui rôdaient autour de sa meilleure amie. Elle semblait avoir un don pour choisir les pires d’entre eux, les dragueurs, les don juan, ceux là même qui étaient les plus disposés à lui briser le cœur et lui faire du mal. Mais même si Leonard avait un avis très tranché sur la question, impossible d’en faire part à la jeune fille sans qu’elle prenne la mouche. Et puis un jour, il y avait 5 ans environs, il avait à son tour rencontré quelqu’un : elle s’appelait Maria, et travaillait dans une boutique en ville pour la saison. Comme lui, elle aimait les livres, comme lui elle adorait les films d’auteurs, et ensemble, ils parlaient de tout ce qu’il ne pouvait pas partager avec Tallulah, qui se moquait pas mal de ce genre de choses. Il avait fini par la présenter à Aled, qui semblait également l’apprécier, et les choses devenaient peu à peu sérieuses entre eux. Maria était calme, posée et stable, elle rêvait de se fixer, de fonder un foyer et une famille. Tout le contraire de Tallulah en somme, qui était spontanée, volatile et au comportement totalement irrationnel et imprévisible par moments. Bien évidemment, la jeune Indienne ne pouvait pas supporter Maria et ne se privait pas de le lui montrer, étant particulièrement insupportable et impolie à chaque fois qu’elle la croisait, ce qui rendait la vie difficile à Leonard, forcé de choisir entre passer du temps avec sa meilleure amie et sa petite copine. Tallulah, outrée qu’il préfère passer sur temps avec Maria plutôt qu’avec elle, lui avait fait comprendre son indignation en disparaissant plus d’une semaine sans donner de nouvelles…
Citation :
La voiture de Maria venait à peine de disparaitre au tournant du chemin que Leonard entendit la moustiquaire grincer sur ses gonds. Nul besoin de se retourner, il avait refermé la serrure derrière lui, et une seule personne savait la faire ouvrir sans la clef.
- Une semaine sans nouvelles, et tu t’introduis chez moi par effraction ? - J’ai vu ta chère et tendre partir, je me suis dit que peut être tu daignerais m’accorder un peu de ton précieux temps ?
La réponse tomba comme un coup de fouet. Tallulah avait toujours eu de la répartie, mais la haine et le mépris qu’il sentait poindre dans sa voix lui déplurent au plus haut point. Qu’elle n’aime pas Maria était une chose, qu’elle l’insulte en était une autre, qu’il ne tolérerait pas sous son toit.
Il se retourna pour lui faire face. Elle était encore dans l’encadrement de la porte, le visage fermé, les traits durcis par une colère dont l’intensité le surprit. A contre jour, sa silhouette sombre et élancée se détachait sur la lumière dorée du coucher du soleil. Leonard ne put s’empêcher de penser qu’elle était encore plus jolie quand elle était en colère.
- Tallulah, je te laisse passer beaucoup de choses. Mais quelles que soient les véritables raisons pour lesquelles tu détestes tant Maria, rien ne te permet de la traiter de la sorte, et encore moins de venir jusque chez moi pour le faire. - Cette fille est totalement insipide ! Comment tu peux vouloir passer du temps avec quelqu’un comme ça, ça me dépasse. T u as changé depuis que tu es avec elle, tu n’es plus le même, Leonard tu me dégoutes !
Leonard sentit des années de frustration et de non-dits remonter à la surface. Il n’était pas du genre à provoquer des conflits, préférant toujours les concessions aux affrontements, mais lui reprocher d’avoir enfin trouvé quelqu’un qui lui ressemble, c’était trop pour qu’il le laisse passer.
- C’est l’hôpital qui se fout de la charité ! Pendant des années, c’est moi qui ai du supporter tes sautes d’humeur, c’est moi qui ai du te voir voler d’histoire en histoire, Pierre, Paul, Jacques, tous les mêmes blaireaux avec qui tu t’obstines à vouloir sortir ! Combien de fois je t’ai mise en garde contre ces types ? Combien de fois tu m’as ignoré et a préféré t’obstiner et n’en faire qu’a ta tête, comme d’habitude ? C’est toujours moi que tu oublies quand tu es partie à roucouler, et pourtant, tu t’en souviens toujours de mon numéro, quand le dernier connard en date t’a plaquée, et qu’il faut quelqu’un pour ramasser les morceaux ! Pas une fois tu ne t’es préoccupé de savoir si moi aussi je n’aimerais pas rencontrer quelqu’un pour changer, plutôt que d’être constamment là, disponible pour te remettre sur pied, jusqu’au prochain blaireau qui te fera tourner la tête, car au fond ça te dérange de me savoir heureux sans toi ! Tu ne supportes pas que je puisse vivre sans toi ! C’est quoi ton problème, Tallulah ? Tu sais pertinemment que jamais Maria ou qui que ce soit d’autre ne prendra jamais ta place, alors c’est quoi ton problème ? Qu’est ce que tu veux à la fin ? Dis le moi, bordel !
Leonard reprit son souffle, sonné par la dureté des mots qui sortaient de sa propre bouche. Jamais avant il ne s’était énervé de la sorte, et encore moins envers Tallulah. Plus étonnamment encore, pour une fois la jeune fille avait assisté à son speech sans rien dire, sans l’interrompre une seule fois. Elle était restée dans l’encadrement de la porte, les poings serrés le long de ses flancs, son regard d’une intensité incroyable.
L’espace d’un instant, aucun d’entre eux ne parla, seul le souffle court de Leonard empêchait le silence de s’installer.
Puis, sans prévenir, Tallulah franchit en quelques pas la distance qui les séparaient et collant son corps au sien, prit son visage entre ses mains et plaqua ses lèvres sur les siennes. Pour la première fois depuis très longtemps, Leonard ne réfléchit pas et se laissa guider par son instinct, et imitant son geste, lui rendit son baiser. Jamais il n’avait ressenti quelque chose de la sorte. Il pouvait presque sentir les étincelles crépiter sous leurs lèvres. Il enfouit une main dans les longs cheveux de la jeune fille, maintenant fermement son visage tout près du sien, laissant l’autre glisser sur sa taille, l’attirant encore plus près de lui. Tout à coup, ce fut comme si tous les points d’interrogation qui flottaient dans son esprit depuis des mois s’étaient volatilisés, laissant place à une totale sérénité. Il ne pensait ni à Maria, ni aux conséquences que ce baiser pourraient avoir sur sa relation avec sa meilleure amie. En cet instant, il n’était sûr que d’une chose : s’il y avait un endroit au monde ou il était supposé être, c’était ici, avec Tallulah dans ses bras.
Quand finalement le baiser prit fin, après de longues minutes, le silence reprit ses droits, alors que chacun tentait de retrouver son souffle et ses esprits. Tallulah vint poser son front contre celui de Leonard, perché sur la pointe des pieds, les bras serrés autour de sa taille. Au bout de quelques minutes, elle releva enfin le regard, qu’il n’avait jamais vu aussi sérieux, et plongea ses yeux dans les siens avant de déclarer :
- Peut être que c’est moi qui veux prendre la sienne, de place.
Leonard lui sourit, l’attirant contre lui. Le visage de la jeune femme prit sa place contre son cou, le plus naturellement du monde, comme s’il avait toujours été fait pour s’y nicher. Il la serra dans ses bras à l’en écraser, et c’est ainsi que leur histoire prit un nouveau départ
.
Cette proximité, aussi bien physique que sentimentale, avait rendu le départ précipité de la jeune fille encore plus difficile à accepter pour Leonard. Elle était venue un jour à sa porte, les yeux remplis de larmes à peine contenues, et lui avait dit qu’elle s’en allait. Où, pour combien de temps, il n’avait jamais réussi à lui faire avouer. Peut être ne le savait-elle simplement pas. Il avait du se résoudre à la laisser partir. Les premiers mois, son absence lui avait été insupportable, sa soudaine solitude quasiment insurmontable… Il avait l’impression d’étouffer au quotidien, comme si sa petite vie tranquille avait perdu tous ses repères. Il avait soudainement ce vide énorme dans sa vie, là où Tallulah était auparavant, que rien ne semblait pouvoir combler. Et puis comme toujours dans ce genre d’histoire, la douleur avait fini par se résorber. Le vide était toujours là, mais désormais il n’était un grand néant indolore, qu’il parvenait à oublier en s’occupant de la ferme, ou bien d’Aled. Il savait qu’un jour, elle reviendrait. Elle revenait toujours. Et ce jour là, elle reviendrait vers lui. Ils finissaient toujours par se retrouver.
Après tout, Leonard avait toujours été un grand optimiste.
HORS-JEU ;Show us your true colors
...
Prénom & Pseudo : Cee Age : 23 Multinicks ? : Oh mon Dieu c'est super excitant c'est la première fois que je peux dire ça ... Ouiiiii !! Code : OK (Go) Avatar : Jonathan Groff Mesdames, Messieurs Commentaires :
[justify]
Dernière édition par Leonard Willoughby le Sam 24 Juil - 2:06, édité 3 fois
Chloé Martin
My Own Private Idaho
Messages : 389 Date d'inscription : 25/06/2010 Statut : En couple avec : Travis Smith.
Sujet: Re: Leonard - {'cause everything is breaking down, now, since you've been gone... } Lun 19 Juil - 23:21
BIENVENUE TOI
Haha, félicitations pour ton premier multinick !
(heureusement que tu devais te reposer haha)
Leonard Willoughby
My Own Private Idaho
Messages : 262 Date d'inscription : 19/07/2010 Age : 38 Statut : Célibataire
Curious, a bit ? Logement : Cedar Creek Relationships :
Sujet: Re: Leonard - {'cause everything is breaking down, now, since you've been gone... } Lun 19 Juil - 23:24
(j'pouvais pas m'endormir avant de l'avoir posté, mais j'ai les paupiere qui se ferment toutes seules là ><) Merciiii ^^
Jared McConroy
admin — I hear you call my name and it feels like home
Messages : 1756 Date d'inscription : 19/05/2010 Age : 37 Statut : Célibataire
Curious, a bit ? Logement : 125, Amethyst Mews Relationships :
Sujet: Re: Leonard - {'cause everything is breaking down, now, since you've been gone... } Mar 20 Juil - 7:25
YAY
Welcome back *hug*
Gemma Doyle
My Own Private Idaho
Messages : 297 Date d'inscription : 20/06/2010 Age : 34
Curious, a bit ? Logement : 184, Golden Terrace Relationships :
Sujet: Re: Leonard - {'cause everything is breaking down, now, since you've been gone... } Mar 20 Juil - 12:25
T'es la meilleure!!!! haha Lennnyy!! =P Welcome back !!
Jaden Lington
My Own Private Idaho
Messages : 1768 Date d'inscription : 19/05/2010 Age : 39 Statut : Célibataire
Curious, a bit ? Logement : 184, Golden Terrace Relationships :
Sujet: Re: Leonard - {'cause everything is breaking down, now, since you've been gone... } Mer 21 Juil - 9:43
Han le fameux Leonaaaaaaaaaaaaaaaaaard rebienvenue et félicitations pour ton tout premier multinick
Alice Montgomery
My Own Private Idaho
Messages : 1093 Date d'inscription : 19/05/2010 Age : 38 Statut : Célibataire
Curious, a bit ? Logement : Relationships :
Sujet: Re: Leonard - {'cause everything is breaking down, now, since you've been gone... } Jeu 22 Juil - 12:01
Rebienvenuuuue!!!!
Willoughby... Fan de Jane Austen?
Arizona Eisenhower
LOST ADMIN ◊ tears wandering on pale cheeks
Messages : 256 Date d'inscription : 24/05/2010 Statut : Single
Curious, a bit ? Logement : 411, Golden Terrace Relationships :
Sujet: Re: Leonard - {'cause everything is breaking down, now, since you've been gone... } Ven 23 Juil - 0:32
Rebienvenue parmi nous, bon courage pour la fiche !
Leonard Willoughby
My Own Private Idaho
Messages : 262 Date d'inscription : 19/07/2010 Age : 38 Statut : Célibataire
Curious, a bit ? Logement : Cedar Creek Relationships :
Sujet: Re: Leonard - {'cause everything is breaking down, now, since you've been gone... } Sam 24 Juil - 1:51
Les filles, je souhaite une bonne lecture à celles qui auront l'envie, et le courage de lire mon petit pavé (ou à celles qui n'auront pas le choix, lol, sucks to be an admin ! ><). C'est rien de bien méchant comparé à ce que certaines personnes admirables sont capable de faire, mais c'est mon petit Golgotha personnel, a moi, l'allergique aux fiches de présentation, et a ma petite échelle j'en suis bien fière . A priori tout est là, si toutefois vous manquiez de précisions, faites le moi savoir .
Virginia Callaghan
over the rainbow •• But you don't really care for music. Do you ? (Bitchy admin)
Messages : 1786 Date d'inscription : 19/05/2010 Age : 36 Statut : Célibataire
Sujet: Re: Leonard - {'cause everything is breaking down, now, since you've been gone... } Sam 24 Juil - 6:03
Oh putain de merde Cloé. J'suis dans un état >< J'me sens trop mal, haha.
Je crois que c'est de loin ce que tu as le mieux écrit depuis qu'on se connait ! Ca me donne trop d'idées pour ma fiche, sur laquelle je bloquais...
Sérieux, meuf, je te kiffe.
(et jte valide !)
Jared McConroy
admin — I hear you call my name and it feels like home
Messages : 1756 Date d'inscription : 19/05/2010 Age : 37 Statut : Célibataire
Curious, a bit ? Logement : 125, Amethyst Mews Relationships :
Sujet: Re: Leonard - {'cause everything is breaking down, now, since you've been gone... } Sam 24 Juil - 8:00
*est trop fan du Leo *
Jaden Lington
My Own Private Idaho
Messages : 1768 Date d'inscription : 19/05/2010 Age : 39 Statut : Célibataire
Curious, a bit ? Logement : 184, Golden Terrace Relationships :
Sujet: Re: Leonard - {'cause everything is breaking down, now, since you've been gone... } Sam 24 Juil - 11:33
Oh mon dieuuuuuuuuuuuu! Déjà que je pleure avec la musique de Pearl Harbor, alors si en plus tu me fais pleurer dès que j'ai séché mes larmes... Pauvre Leonard...
Randy Cramer
My Own Private Idaho
Messages : 171 Date d'inscription : 23/06/2010
Curious, a bit ? Logement : chez les DuBois. Relationships :
Sujet: Re: Leonard - {'cause everything is breaking down, now, since you've been gone... } Sam 24 Juil - 20:02
Bienvenue ;D
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Leonard - {'cause everything is breaking down, now, since you've been gone... }
Leonard - {'cause everything is breaking down, now, since you've been gone... }
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum