that's alright because i like the way it hurts (temperance)

DANS-JEU ;

L'imagination gouverne le monde (Napoléon)

...

IDENTITY CARD

that's alright because i like the way it hurts (temperance) EL6-1-1

(c) soft frenzy

NOM : Angermann
PRENOMS : Temperance Claire
DATE (Âge) & LIEU DE NAISSANCE (Etat) : 23 février 1983 (27 ans); Austin (Texas)
TAILLE & POIDS : 1m65; 52 kilos
EMPLOI/ETUDES : Chirurgien généraliste
GROUPE : Farmers

WRITE TIL THE INK FADES —

En ce dimanche 1er août 2010, ce fut une journée normale qui commençait. Le soleil malgré l'heure matinale était déjà bien haut et éclairait la chambre de Tempérance. Sentant la douce chaleur du soleil sur son visage, la jeune femme poussa un soupir, témoignant de son bien être, et s'étira longuement. Lorsqu'elle se décida enfin à ouvrir les yeux, ce ne fut que pour découvrir le visage endormi de son compagnon de la nuit précédente...

that's alright because i like the way it hurts (temperance) 365285esigna14

« Rentre chez toi ! » hurlais-je à travers la fenêtre. « Il est trois heures du matin, tu n'entreras pas. » J'étais déterminée. Cette fois-ci, je ne le laisserais pas rentrer. Je détestais l'effet qu'il avait sur moi autant que j'en étais accro. Il était comme une drogue, ou quelque chose qui y ressemble. Ce n'était pas sérieux, pourtant. Mais dès qu'il m'approchait, les images de nos ébats passionnés arrivaient vers moi et réveillaient mes hormones. Je tentais de lutter mais au fur et à mesure, cela devenait de plus en plus difficile de lutter. Je devais me battre contre chacun de mes instincts, chaque parcelle de mon corps réclamait son contact, et j'étais purement incapable de lutter. Les rares fois où je réussissais à ne pas le faire entrer, où je lui interdisais de m'approcher était un pur miracle. Je ne comptais plus le nombre de fois où nous nous étions rejoints dans des toilettes pour ne pas apparaître en public, sans savoir pourquoi nous avions décidé que cette relation serait notre secret. « Si tu ne me laisses pas entrer, j'ameute les voisins » me répondit un Orlando franchement alcoolisé. Le salaud. Il savait qu'en proférant cette menace, je n'aurai d'autres solutions que de descendre, pour le convaincre de ne pas rentrer, de se calmer, et surtout de baisser d'un ton. J'avais beau vivre dans un ranch, sa voix portait dans la nuit, et je ne voulais pas que mes voisins soient au courant de ma vie sexuelle, ou même de ma vie tout court. Quand quelque chose y changeait, tout le monde était au courant, s'en inquiétait, souhaitait vous aider... Plus jamais je ne souhaitais devoir gérer la peine des autres quand la mienne était même trop grande pour que j'en réalise l'ampleur. J'enfilais un débardeur, et une culotte avant de dévaler les escaliers; la chaleur des nuits d'été m'empêchait de dormir avec la moindre parcelle de tissu sur mon corps. J'arrivais essoufflée à la porte, et me donnai sun léger speech pour me convaincre que non, Orlando ne pouvait réellement pas entrer ce soir... peu importe les moyens qu'il utiliserait pour me convaincre de le faire entrer. « Tu ne peux pas entrer. Je commence à dix heures demain, il faut que je dorme. » Et là dessus, j'étais sincère. Je ne pouvais décemment pas enchainer une garde de douze heures après une nuit sans sommeil ou presque. Le fait était que je n'avais pourtant pas réellement envie de lutter. Un sourire en coin se dessina sur son visage, et je hochais négativement la tête. « N'y pense même pas. » Mais sa main entourait déjà mon poignet, m'attirant contre lui. « Rentre chez toi, Orlando. » lançais-je une dernière fois, déterminée - faussement déterminée. Ses lèvres se trouvaient d'ores et déjà à l'orée de mes cheveux, et ses mains caressaient mes cuisses nues lorsqu'elles ne venaient pas se perdre sous mon débardeur. Je posais une main sur son torse pour le faire reculer, mais il ne laissait pas faire. Pire, il s'attaqua à mon point sensible en me mordillant l'oreille. Je poussais un long soupir, témoin du plaisir qu'il me procurait. « Attends. Pas ici. » abandonnais-je avant même d'avoir réellement lutté. A peine quelques secondes plus tard, nous étions à l'intérieur, et je n'avais déjà plus de débardeur. Quelque chose me disait que nous n'allions pas atteindre la chambre.

Un léger sourire se dessina sur ses lèvres, et elle se mit à quatre pattes sur ce dernier, le réveillant d'un baiser passionné avant de s'échapper dans la salle de bain. Il ne mit évidemment que peu de temps à la rejoindre, mais leur ébats furent interrompus par quelqu'un qui sonnait à la porte...

that's alright because i like the way it hurts (temperance) 907esigna6

« Tu n'auras qu'à sortir par derrière, je me charge de faire diversion » Après avoir enfilé un peignoir, je me dirigeais vers la fenêtre afin d'apercevoir qui pouvait bien sonner à une heure si matinale. Un sourire amusé se dessina sur mes lèvres, et j'interpellais le jeune policier. « Hey Floyd ! Laisse moi le temps de m'habiller, et je descends. » Je remontais mes longs cheveux et les attachais en un rapide chignon grâce à une pince. J'enfilais une robe fleurie, légère et plutôt courte, et me dirigeais vers la porte d'entrée lorsqu'Orlando effleura mes fesses. Je ralentis prolongeant le contact entre nous, lorsque ce dernier me plaqua contre la rambarde des escaliers. « Il sait que je suis là. Tu dois vraiment y aller... » Sa main était déjà sous ma robe. « Orlando ! » murmurais-je sur un ton autoritaire afin de le gifler. Cela eut apparemment un effet de surprise sur ce dernier qui me relâcha, et j'en profitais pour dévaler les escaliers, et ouvrir à mon policier préféré. « Tu sais que je suis rentrée, hein ? Depuis... six mois, environ ? Ce n'est pas que je n'aime pas ce rendez-vous quotidien avec toi, mais ma maison n'a plus besoin d'être surveillée. » le taquinais-je, ouvrant la porte de manière à le laisser entrer. Mauvais timing. Ce fut ce moment là que mon amant choisit pour sortir, faisant claquer la porte de derrière. « Va chercher Adrian, et enferme toi dans une chambre. » J'étouffais un rire. « Adrian est chez Shay, et je suis à peu près certaine que ce n'était qu'un coup de vent, j'ai du mal fermer la porte, tout simplement... » Cependant, le jeune homme insista, et je dus donc au moins rester dans le hall en attendant qu'il vérifie que personne n'avait pénétré dans la maison. Attendrie par son enthousiasme, je le laissais faire. Dévoué comme il était, il ferait sans aucun doute un excellent policier lorsqu'il pourrait enfin atteindre ce poste. Cependant, vu la passion qu'il semblait avoir pour son futur métier, je craignais qu'il n'en oublie d'avoir une vie à côté. Pour preuve, il était là tous les matins, même pendant ses vacances, ou ses jours de congé. Pour tout vous dire, je me sentais même obligée de lui laisser un mot sur la porte lorsque je travaillais plus tôt, ou que j'étais de nuit. Adrian l'adorait du haut de ses trois ans, et je m'amusais de voir la complicité qui les unissait. J'étais entrain de regarder une photo de mon fils et moi lorsqu'un bruit sourd contre la porte me fit sursauter. « Le journal » soufflais-je. J'ouvrais la porte afin de remercier le jeune homme qui me le distribuait chaque matin depuis un moment maintenant. « Merci Travis ! Tu n'es pas passé prendre ton pourboire de fin de mois, tout va bien ? » Comme d'ordinaire, le jeune homme acquiesça, et promit qu'il passerait plus tard. Je ne doutais pas un seul instant qu'il faudrait que je sois amenée à le croiser dans la rue ou à l'hôpital – où il faisait régulièrement des allers, et retours de la faute de son père - pour qu'il accepte enfin son pourboire. Tout le monde connaissait son histoire, mais celui-ci semblait ne plus y prêter attention. Il vivait sa vie, et personne ne savait réellement quoique ce soit de lui. Parfois, je me demandais comment un jeune homme de son âge pouvait se montrer aussi fort... Je ramassais le journal, et refermais les portes. « C'est bon, tu devais avoir raison... » lança un Floyd légèrement déçu. J'éclatais de rire. « Ca sera pour une prochaine fois. Allez, allons boire ce café, je dois encore nourrir les chevaux. »

Après avoir bu un long café en compagnie de Floyd, et nourri les chevaux en sa compagnie, la jeune femme attrapa le journal qu'elle avait abandonné sur le buffet dans l'entrée, et se dirigea vers sa porsche 356 Speeder, un modèle d'origine qu'elle avait remis en état en compagnie de son cousin garagiste, Jared McConroy. Le bruit du moteur au démarrage la dérangea, et elle se promit de rendre visite à son cousin si sa garde se terminait plus tôt. Mais cela semblait se présenter plutôt mal. Lorsqu'elle arriva dans l'hôpital de la ville voisine – où elle était assignée en attendant que l'hôpital soit reconstruit -, on la prévint que son patient favori venait d'arriver...

that's alright because i like the way it hurts (temperance) 457284esigna25

J'examinais le dossier de Corey, et poussais un long soupir. Je n'osais imaginer dans quoi il s'était encore lancé. Ceci dit, au vu de ses examens, le vétérinaire avait eu la chance de tomber sur des médecins plutôt compétents, et considérant tout ce que l'on pouvait trouver à Médecin Sans Frontière, je me demandais sincèrement si le jeune homme n'avait pas un ange gardien tout là-haut – sachant que je ne suis absolument pas croyante, c'est assez troublant. Il n'était pourtant pas sorti d'affaire, étant dans un piteux état. Je pénétrais dans sa chambre sans faire de bruit, et ce fut sans surprise que je le trouvais endormi. Son visage était couvert de cicatrices, et je ne doutais pas un seul instant qu'il en fut de même sur le reste de son corps. Je jetais un dernier coup d'oeil à son dossier, et me décidais à le réveiller afin de vérifier qu'il n'avait aucune douleur anormale, et que tous ses réflexes étaient bons. D'un geste affectif, je passais doucement ma main sur son front, et ouvrais complétement les rideaux de la pièce. Je l'entendis gémir de douleur, et grimaçais légèrement avant de me retourner vers lui. « Corey l'indomptable... continue ainsi et tu vas marquer l'histoire de la médecine. » lançais-je, taquine, souhaitant cacher mon inquiétude. Si il suivait correctement son traitement – ce sur quoi je veillerai -, qu'il n'allait pas s'aventurer dans je ne sais quelle jungle dans les quelques mois à venir, et qu'aucune complication ne naissait dans le mois qui venait, il devrait s'en sortir en parfaite santé avec beaucoup de patience. Il esquissa un léger sourire qui se transforma rapidement en grimace. « Je t'ausculte, et tu pourras te rendormir. Je dirais aux infirmières de ne pas te réveiller. » lui expliquais-je. Je fis toutes les vérifications nécessaires, et fus rassurée qu'aucune complication ne semble avoir lieu. Pourtant, il faudrait le surveiller de très près tout au long de la semaine à venir... Lui promettant de revenir avant la fin de ma garde, je refermais les rideaux, et quittais la pièce. A peine une heure après, on m'appelait pour que je l'opère d'urgence... L'opération fut laborieuse, et d'autant plus dure psychologiquement que j'appréciais énormément la personne dont je tenais la vie entre les mains. C'était un jeune homme passionné, et plein de vie que j'avais eu l'honneur de rencontrer lors de l'année que j'avais passé à travailler pour Médecin Sans Frontière il y a maintenant cinq ans de cela. C'était peu de temps avant que Jason ne me convainque de venir vivre avec lui à Ruby Creek Falls (Idaho). Sans réellement comprendre pourquoi, Corey et moi étions devenus complices assez rapidement, et si nos contacts étaient désormais plutôt rares, nos emails étaient toujours sincères, et enjoués. Je sortis de la salle d'opération quatre heures plus tard, complètement épuisée, et incertaine du futur de mon ami...

La jolie brune passa voir ses autres patients, et profita de quelques minutes de répit pour vérifier les messages sur son portable. Effie, une jeune mère du même âge que Temperance, la prévenait que Shay avait eu une urgence, et était passé déposer Adrian chez elle. La jeune femme, avec sa générosité habituelle, précisa qu'il pouvait rester dormir là-bas si la garde de la chirurgienne s'éternisait, elle n'aurait qu'à lui passer un coup de fil. Appelée par un confrère, la texane n'eut d'autre choix que de ranger son téléphone, se promettant de rappeler son amie un peu plus tard. Une fois la consultation finie, le calme régnant dans l'hôpital lui permit de vérifier que Corey était réveillé, et de faire les premiers tests nécessaires suite à l'opération. Après cela, la jeune femme envisagea d'aller une demi-heure en salle de repos récupérer le sommeil dont elle n'avait pas bénéficié cette nuit – un sourire se dessina sur ses lèvres au souvenir de cette nuit -, et lire le journal du matin, mais ce fut ce moment qu'on choisit pour la prévenir que Jessie venait d'arriver...

that's alright because i like the way it hurts (temperance) 938356esigna4

Inquiète, je me dirigeais d'un pas pressé vers l'accueil, mais le sourire illuminant le sourire de Jessie me rassura immédiatement. Apparemment, il s'agissait d'une simple visite de courtoisie. Je sentis mes joues rosirent légèrement, me rappelant que quelques secondes plus tôt à peine, j'étais entrain de repenser à l'homme avec qui je trompais Daniel, mon fiancé décédé. Enfin... je ne le trompais pas réellement, mais il m'arrivait encore d'avoir cette impression. Il avait beau être mort depuis trois ans, et j'avais beau avoir parfaitement conscience que j'avais le droit de refaire ma vie, parfois c'était tout simplement trop difficile de me dire qu'il ne reviendrait jamais. Le fait que la relation que j'avais vécu avec ce dernier avait partiellement été à distance n'aidait absolument pas. C'était comme un retour en arrière, et j'avais l'impression que cette période finirait bientôt. Comme lorsque nous étions envoyé dans des missions différentes avec MSF, par exemple. Je serrais mon beau-frère dans mes bras, ravie que nous réussissions à agir comme la famille que nous aurions du être si la vie ne s'en était pas mêlé. « Je t'invite à déjeuner. » lança-t-il, rompant notre étreinte. Un léger sourire se dessina sur mon visage, et j'acquiesçais d'un hochement de tête avant de retirer ma blouse. Bras dessus bras dessous, nous nous sommes dirigés vers le petit restaurant au coin de la rue, tandis que ce dernier me questionnait sur son neveu. « Il te réclame. Si tu ne fais rien demain soir, tu n'as qu'à te joindre à nous pour dîner. » Comme d'ordinaire, le ton de notre conversation fut jovial, et léger. Pourtant, comme souvent, nous n'avons pas réussi à éviter le sujet Jason. Si nos deux visages continuaient de s'assombrir à chaque fois, nous arrivions désormais à rire des âneries qu'avaient pu faire ce dernier. La période suivant le décès de mon fiancé avait été particulièrement douloureuse, et Jessie m'avait proposé de vivre chez lui pendant quelques temps. Je ne pouvais exprimer à quel point cela avait pu m'aider. Il s'était comporté comme un père pour Adrian, et sans lui, je ne savais honnêtement pas si j'aurai su reprendre pied. Le soir, régulièrement, je l'entendais raconter à mon fils de quelques mois à peine des histoires sur son père. Petit à petit, j'avais réussi à venir l'écouter les raconter, et avec le temps, j'avais contribué. Nous avions partagé tellement pendant cette période que je ne savais comment j'avais pu trouver le courage de retourner dans le ranch que Daniel et moi avions acheté quelques mois avant qu'il ne me demande de l'épouser. Mais j'avais réussi, et je n'en étais pas peu fière. Cela n'avait de toute façon rien changé à la relation que je partageais avec Jessie. Nous étions d'ailleurs en plein fou rire lorsque mon bipper se mit à sonner. « Merde. Je dois y aller. » Je me levais rapidement, et déposais un baiser sur sa joue avant de me diriger vers la sortie. Franchissant la porte, je me tournais vers lui une dernière fois. « A demain soir, alors ? » J'attendis de le voir acquiescer, et me précipitais à l'intérieur de l'hôpital.

Le reste de la journée passa à une vitesse folle, et bien que la jeune femme se soit promis de passer chez Jared si elle finissait plus tôt, lorsqu'on lui annonça qu'elle pouvait quitter l'hôpital au bout de huit heures de garde au lieu de douze, elle renonça, attendant avec impatience le moment où elle retrouverait son fils; et son lit, accessoirement. En passant par le salle d'attente pour vérifier qu'il n'y avait aucune urgence, elle aperçut Autumn Hastings, et automatiquement le rythme cardiaque de la jeune maman s'accéléra. Tant par ses manières que par le contenu de l'article que l'étudiante en journalisme avait écrit sur Temperance, Autumn avait le don d'agacer la jeune femme au plus haut point. Ca en devenait presque physique. Secouant légèrement la tête, elle franchit enfin le seuil de la porte, et téléphona à Effie pour la prévenir qu'elle arrivait tandis qu'elle se dirigeait vers sa voiture.

that's alright because i like the way it hurts (temperance) 937133esigna31

Apparemment, j'avais composé le mauvais numéro puisque ce fut une fois masculine qui répondit. « Eugene ? » Il acquiesça, et me demanda pourquoi j'avais l'air si étonnée. Je lui racontais donc, parfaitement consciente qu'il se moquerait probablement de moi ouvertement. Un éclat de rire ne tarda pas à raisonner de l'autre côté de l'appareil, et Temperance sourit, frottant frénétiquement ses yeux pour se réveiller. « Ce n'est rien. Leigh voulait justement savoir si tu souhaitais te joindre à nous pour dîner ce soir. » Étouffant un bâillement, j'hésitais quelques secondes. « Hum.. venez à la maison plutôt... disons vers 20h ? On commandera une pizza. » Cela me laisserait ainsi le temps de récupérer Adrian, et de profiter un petit peu de ce dernier. Enchainant les gardes cette semaine, je n'avais guère eut le temps de profiter de lui plus d'une ou deux heures par jour, et j'attendais avec impatience mon jour de congé pour pouvoir lui consacrer tout mon temps. Espiègle comme il était, je ne doutais pas une seule seconde que la journée serait remplie d'éclats de rire. Je pris donc la route vers la résidence de Melle Whitehead, dépassant quelques peu les limites de vitesse. J'avais hâte que cette journée finisse, et cela avait parfois tendance à me rendre imprudente. Je m'arrêtais de justesse à une intersection, et fut plus prudente sur le reste de la route. J'arrivais chez Effie, un quart d'heure plus tard, et comme chaque jour, m'étonnais de la puissance de l'amour que je ressentais en apercevant mon petit garçon, tout comme de l'amour qu'il me donnait. Je détestais être séparée de lui, craignant toujours que quelque chose ne lui arrive. C'était plus fort que moi, et je ne comptais pas le nombre de fois où l'on avait pu se moquer de moi à ce sujet. Il m'en faudrait cependant bien plus pour m'offusquer, ou pour me calmer. Après avoir discuté de longues minutes avec mon amie, je repris la route vers le ranch, trois fois plus prudente ayant une autre vie que la mienne à protéger.

Une fois arrivée chez elle, Temperance déposa les clés dans le vide poche, et laissa Adrian courir jusqu'à l'enclos où se trouvaient les chevaux. La jeune femme ayant remarqué le matin même que ce dernier était fragilisé téléphona à Tobias Clearwater, un ouvrier qui s'occupait régulièrement des travaux qu'il pouvait y avoir à faire chez elle. Elle rejoint ensuite son fils au pas de course, lui proposant de faire un tour un cheval avant que Leigh, et Eugêne ne les rejoignent... Peut-être même passeraient-ils par le ranch de Cole... Chaque fois qu'elle montait, Temperance se sentait un peu plus proche de son Texas natal, et de Daniel à la fois. C'était lui qui lui avait permis de renouer avec sa passion du cheval, la jeune femme ayant fait une grave chute durant son adolescence, et n'ayant jamais remonté avant sa rencontre avec Jason. Elle était désormais plus proche de ces animaux que jamais, et ne pouvait exprimer à quel point était heureuse que son fils les aime tout autant... Malgré toutes les difficultés que la vie avait pu mettre sur son chemin, malgré les moments difficiles où elle avait failli tout lâcher, Temperance était ravie de n'avoir jamais complètement renoncé, car quand elle était avec son fils ainsi, partageant ces moments de complicité que seule une mère peut partager avec son enfant, elle savait que tout cela en avait valu la peine. Elle était heureuse, et ne regrettait absolument pas qu'un soir de détresse, Orlando soit intervenu lui rappelant à quel point la vie était précieuse.

Spoiler:

Dernière édition par Temperance Angermann le Dim 1 Aoû - 22:59, édité 17 fois

But that's alright cause i love the way u lie.

Ooooh Evangeline *-*

Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche!

Je plussoie. Et j'adore la dernière phrase (L) lurve

Héhé! Can't wait to read it! Razz

Bon courage pour la suite ^^

Merci à tous, vous êtes tous trop mignons (a)

Evangeline *_* <3
Bienvenue =)

C'est trop drôle; y a personne qui me reconnait

Moi siiiiiiiiii hin

mais je dirai rien. Je suis une tombe :gla:

*rit sous cape* xDDD

Eeeeeeeeeeet val----ise. Euuuuh val------ée......
Rouh, Validée! xDD

Bon jeu! x)

Mo-mo-mo-motus !

merci (a)

Leelo t'as abusé XDDDDDD.

J'ai rien fait!

Genre. C'était pas un défi ce que tu m'as dit peut être ? (a)

Oui mais c'était pas mon idée! (...si? xDD)

Les liens ? Non. Tous les mentionner... SI !

Ahah, bah c'est toi qu'es venue avec une idée pareille, t'en as payé le prix XDDD

Jte ferai dire qu'on doit faire de même avec Corey hin

No problemo ahahahah!