Quinn, une reine déchue.

DANS-JEU ;

L'imagination gouverne le monde (Napoléon)

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IDENTITY CARD

NOM : Hemmingway
PRENOMS : Quinn, Grace, Eleanor
DATE (Âge) & LIEU DE NAISSANCE (Etat) : 14 juin 1987 (23 ans) à Chicago (Illinois)
TAILLE & POIDS : 1m58, menue
EMPLOI/ETUDES : Diplômée en Sociologie
GROUPE : The Farmers

BAD TEMPER —

INVESTIE
« Quelle personne (morte ou vivante) aimeriez vous rencontrer ? » Toutes les pré-adolescentes se trouvant dans la même classe que Quinn, à peine âgée de 11 ans, avaient probablement répondu Britney Spears. Cliché ! Toutes sauf Quinn Hemmingway. La musique, ce n’était pas vraiment son truc, elle ne voulait pas devenir chanteuse ou actrice, son rêve était devenir une grande militante et elle avait l’ambition de pouvoir, un jour, faire régner la paix sur Terre et réduire les inégalités. « Martin Luther King » voilà la réponse qu’avait inscrite la jeune fille sur sa feuille ce jour-là.
Depuis, la jeune Quinn s’était investie dans toutes sortes d’associations, faisant enrager ses parents dont la première passion était, au contraire, de montrer à quel point ils avaient de l’argent. Elle n’avait pas fait Droit à l’université mais Sociologie, une matière un peu « fantaisiste » pour son père, véritable requin dans le Business immobilier.

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DÉTERMINÉE
« Quinn, écoute-moi, si tu n’arrêtes pas tout de suite de voir ce garçon, il est inutile de continuer à vivre ici !
- Tu me jetterais dehors, juste parce que je suis tombée amoureuse d’un garçon qui ne te convient pas ?
- Ne me pousse pas à bout Quinn… Je veux que tu arrêtes de voir ce garçon.
- Plutôt mourir… »
Quinn se retourna alors vers sa mère, qui abaissa le regard et fuit comme à chaque fois qu’elle lui demandait son aide.
« Je vais faire mes bagages. Vous ne me verrez plus ici.
- Ne sois pas sotte.
- Alors quoi ? Tu préfères me voir partir que me voir heureuse avec Jason et bah tu sais quoi papa, moi je préfère être heureuse avec Jason que de rester ici. »
Une vingtaine de minutes plus tard, Quinn quitta la demeure familiale, sans un regard en arrière.

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GÉNÉREUSE
Quinn se promenait avec sa meilleure amie dans les rues de Chicago lorsque des cris l’interpelèrent. Elle se retourna pour voir un vieil homme jeter toutes sortes d’objets sur une jeune femme qui semblait être sans abris.
« HEY ! cria-t-elle, en faisant demi-tour.
- Mêlez vous de ce qui vous regarde Mademoiselle !
- Vous n’avez pas à traiter les gens de cette manière, Monsieur.
- Je vous ai dit de vous en aller.
- Vous permettez ? »
Quinn alla alors à la rencontre de la SDF et la prit par les épaules, pour l’emmener plus loin avec elle, sans un mot de plus au vieillard.
« Vous auriez du le laisse faire, j’ai mérité sa réaction, je fouillais dans ses ordures.
- Il n’avait pas à agir ainsi… vous tremblez vous devez avoir froid.
- On m’a volé mes chaussures pendant mon sommeil.
- Quelle horreur. Attendez. »
Quinn se baissa alors et dénoua ses lacets pour retirer ses petits baskets et les tendit à la jeune femme.
« Je ne peux pas accepter.
- Vous en avez plus besoin que moi, j’en ai d’autres, ce qui n’est pas votre cas. Acceptez les je vous en prie.
- Comment puis-je vous remercier ?
- Laissez-moi simplement vous accompagner jusqu’au recueil pour sans abris le plus proche. »

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RANCUNIÈRE
Lorsque la jeune femme arriva dans le petit café où sa tante lui avait donné rendez-vous, elle repéra directement sa mère, assise au fond de la salle et fronça automatiquement les sourcils. Que diable faisait-elle là ?! Elle s’avança vers elle d’un pas déterminé et se planta devant sa génitrice en croisant les bras.
« Bonjour ma chérie, dit Diana Hemmingway.
- Que fais-tu là ?
- Ta tante m’a aidé à te voir, je n’avais aucun moyen de te joindre. Tu as changé de numéro de téléphone.
- Papa m’a coupé les vivres je te rappelle, cela veut également dire qu’il a mis fin à mon abonnement téléphonique.
- Il ne voulait pas.
- Ah oui ? Pourtant il l’a fait. J’ai bien compris qu’il ne me considère plus comme sa fille. Bien, je me porte autant bien sans vous tous. Je suis plus libre d’exprimer mes convictions désormais. Et je ne vous fais plus honte.
- Tu ne nous fais…
- Qu’est-ce que tu veux maman ?
- Que tu reviennes à la maison.
- Il en est hors de question. Je ne retournerai jamais là-bas. Vous m’avez chassé dehors, jamais je ne pourrai vous le pardonner. C’est trop tard. »
Tout comme la dernière fois où elle avait vu sa mère, Quinn quitta le café d’un pas assuré et s’empressa d’appeler sa tête pour lui exprimer son mécontentement. Contrairement à ce qu’elle avait pu penser, cela ne lui avait pas fait tant mal que ça de revoir sa mère. Elle était désormais sûre d’avoir fait le bon choix en quittant le domicile de ses parents pour continuer à aimer Jason.

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CURIEUSE
« La curiosité est un vilain défaut. »
Combien de fois avait-elle entendu cette phrase lorsqu’elle était petite ? Quinn pouvait se rappelait encore de nombreuses occasions où sa mère la lui avait rabâchée. Cependant, l’une d’entre elle restait mémorable.
A l’époque, la petite Quinn jouait dans le parc avec les autres petites bourgeoises du quartier, elle n’avait alors que 5 ans et son innocence était connue de tous. Elle avait notamment été la première à poser la fameuse question « comment on fait les bébés ? » Ce jour-là, Diana Hemmingway échangeait encore les potins avec ses amies de la haute société de Chicago lorsque la fillette s’avança vers le groupe de bavardes. En effet, quelque chose l’avait tracassé depuis que sa copine Betty était arrivée.
« Maman, pourquoi la maman de Betty (maman de Betty qui se trouvait elle-aussi sur le banc) elle a des tétés plus gros qu’avant ? »
Diana vira au rouge.
« Ce sont des affaires de grandes personnes. Retourne jouer avec tes amies.
- Mais maman, pourquoi ? Diiiis ! Elle s’est fait piquer par une bête géante ? Ça fait mal ? demanda-t-elle à la concernée.
- Non, répondit la jeune maman, les lèvres pincées.
- D’accord.» dit Quinn le plus naturellement du monde, avant de retourner voir ses copines.

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IMPULSIVE
Est-il réellement nécessaire d’en dire plus à ce sujet ? Quinn a plutôt tendance à réfléchir après avoir agi. Cela lui a d’ailleurs valu quelques ennuis, comme cette fois où elle avait dit ce qu’elle pensait à un professeur de son université, sur sa manière d’enseigner.
« Je peux vous poser une question Professeur ?
- Allez-y mademoiselle…
- Pourquoi semblez-vous si frustré ? »
Toutes sortes de réactions avaient suivi : des étonnements, des indignations, des rires aussi… et le professeur qui s’était senti offusqué par une telle remarque avait renvoyé Quinn de son cours. Mais elle ne s’en était pas formalisée, elle avait regretté sur le moment, mais avait su défendre sa cause lors d’une entrevue avec le dit professeur, lui montrant que l’analyse qu’elle avait faite lors du cours et qui l’avait poussée à faire cette remarque était en adéquation avec la matière étudiée.

DO YOU WANT THE REAL STORY ? —

Quinn avait toujours eu un tempérament à faire des vagues du point de vue de ses parents, et si vous interrogiez la jeune femme sur les raisons qui la pousse à agir à l’inverse de la volonté de ses parents, elle vous répondrait simplement « je ne suis pas née dans la bonne famille ». La jeune femme était la benjamine de la famille et ses deux ainés avaient suivi le chemin soigneusement tracé par leurs parents. Braxton, le plus vieux de la fratrie avait intégré Harvard après le lycée et travaillait désormais dans l’un des plus grands cabinets d’avocats new-yorkais. Quant à Allison, la sœur ainée de Quinn et seconde de la famille, occupait le poste de direction du département Recherche et Développement (basé à Tokyo) de l’entreprise dans laquelle travaillait son père (si vous vous demandez si elle a été pistonnée pour obtenir le poste, la réponse est « oui »). Pour Quinn se fut une autre affaire : dès l’adolescence, ses parents avaient compris qu’elle ne serait pas aussi docile. Elle s’intéressait davantage aux œuvres caritatives qu’aux défilés de mode (dont sa mère et sa sœur étaient adeptes) et si pour d’autres parents, cela serait le résultat d’une éducation réussie, pour Victor et Diana Hemmingway, cela reflétait plutôt un échec dans la transmission des valeurs qui étaient les leurs.
Mais de son point de vue à elle, Quinn était parvenue à atteindre les objectifs qu’elle s’était fixés et était très fière de son parcours. A 22 ans, elle était ressortie diplômée en Sociologie de l’Université de Chicago et avait la tête pleine de projets avec son petit ami qu’elle avait rencontré quelques mois plus tôt.

Lorsqu’elle avait rencontré Jason, tout lui était apparu comme une évidence : c’était avec lui qu’elle voulait construire sa vie. Les garçons n’avaient pas été sa principale préoccupation jusque là et pourtant elle avait eu un véritable coup de foudre pour le jeune homme, dès lors qu’elle avait posé ses yeux sur lui. Il avait ce côté mystérieux qui l’attirait indéniablement et le fait qu’il soit à l’opposé du monde dont elle venait n’avait fait que renforcer son attirance pour lui. Les premiers mois de leur idylle étaient restés secrets mais néanmoins chaotiques : Quinn découchait sans cesse pour retrouver Jason dans l’appartement miteux qu’il partageait avec deux canadiens à l’époque. Jason était resté plus discret sur ses sentiments les premiers temps, ce qui avait poussé Quinn à remettre en question plusieurs fois leur relation. « M’aime-t-il autant que je l’aime ? » Jusqu’à ce qu’un évènement chamboule tout dans sa tête… et dans sa vie.

Les colocataires de Jason n’avaient jamais été très tendres avec la jeune femme, souvent sous l’emprise de l’alcool et des diverses herbes, ils avaient régulièrement des paroles déplacées envers Quinn qui tentaient tant bien que mal de les remettre à leur place. Mais ils n’avaient jamais dépassé les limites, car Jason ne se trouvait jamais bien loin. Mais lorsque la jeune diplômée s’était rendue dans l’appartement de son petit-ami, un soir d’automne et qu’elle ne l’avait pas trouvé, les deux canadiens l’avaient accueillie, toujours dans le même état que d’ordinaire. Elle avait essayé de faire demi-tour, leur regard la mettant mal à l’aise, mais ils l’avaient retenue et forcée à rester avec eux. C’est là que tout avait dérapé : les paroles déplacées étaient devenus gestes incontrôlables et Quinn s’était sentie très vite oppressée. Elle avait tenté de se défendre mais à deux contre elle, c’était perdu d’avance. Heureusement, Jason était arrivé avant que le pire n’arrive et était entré dans une colère noire en voyant la scène sous ses yeux. La jeune femme n’avait d’ailleurs pas bien compris ce qui se passait devant elle sur le moment mais très vite, elle s’était retrouvée loin de ses deux agresseurs et dans les bras de son petit ami qui avait prouvé ce soir là, ô combien il tenait à elle.
« Tu devrais rentrer chez toi pour cette nuit, je vais te raccompagner.
- Et toi où vas-tu aller ?
- Je ne sais pas encore, c’est pour ça que tu dois rentrer, je te tiendrai au courant dès demain. »

Il l’avait donc raccompagnée jusque chez elle, et c’est à cette occasion que les parents de Quinn avaient pu apercevoir pour la première fois le petit ami de leur fille. Dès le lendemain, Victor Hemmingway avait demandé des explications à sa fille sur ce qu’il s’était passé la veille et l’avait questionnée sur ses fréquentations. C’est à partir de ce jour-là que tout avait dérapé pour Quinn. Elle avait du présenter Jason à ses parents, qui avaient immédiatement désapprouvé cette relation. Refusant de quitter Jason, elle avait décidé de rendre à nouveau cette liaison secrète, mais cela s’était soldé par un échec et l’ultimatum était arrivé « Quinn, écoute-moi, si tu n’arrêtes pas tout de suite de voir ce garçon, il est inutile de continuer à vivre ici ! » Le choix avait été vite fait pour la jeune femme : elle préférait vivre sa vie avec l’homme qu’elle aimait plutôt que se sentir emprisonnée dans une famille qui ne la comprenait pas.

Mais les choses ne s’étaient pas tout à fait passées comme elle l’aurait voulu. Les galères s’étaient enchainées : il avait fallu qu’elle abandonne son rêve de travailler dans l’humanitaire pour se trouver un petit boulot de serveuse. Jason avait perdu son travail de mécano à cause de la crise, la poussant à faire plus d’heures supplémentaires et à être de plus en plus absente. Elle était passée d’une vie de princesse à la vie de Cendrillon, les animaux de compagnie en moins. Et le pire était encore à venir. Il avait fallu qu’elle tombe enceinte. Elle n’avait pas trop su comment réagir à l’annonce de la nouvelle, partagée entre joie de bientôt devenir maman et peur de ne pas pouvoir assumer ce bébé. Mais Jason avait tranché pour elle : c’était une catastrophe. Si grande qu’il n’avait pu supporter une telle responsabilité et avait fuit sans un mot, sans une lettre pour sa petite amie, la laissant seule (enfin plus tout à fait) avec ses problèmes.

HORS-JEU ;

Show us your true colors

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Prénom & Pseudo : Alexandra, Alex.
Age : 22 ans
Multinicks ? : //
Code : OK (Leelo)
Avatar : Rachel Bilson (merci à la personne qui a bien voulu me la laisser <3)
Commentaires :J'ai réussi !

Tu as fini?

Alors je te valide! Le personnage est intéressant! J'ai hâte au topic *-*

Bon jeu ^^

Merci beaucoup !

Yaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaay !!!!!! ma chouchou <33333 Very Happy

ENFIN!

Bienvenue <33
J'aime trop ton perso *.*

Merciiiiii <3

Officiellement, c'est moi qu'il faut remercier mais ton personnage va tellement bien à Rachel que c'est moi qui te remercie ^^
Ta présentation est magnifique et je suis ravie que tu sois enfin parmi nous ^^

Ruby creek falls devient un repère de femme enceinte :p

Il faudra qu'on discute lien (a) muahahaha !

Quelle idiote. J'allais oublier ; bienvenue !

Ah bah... euh... merci et de rien alors !
J'en suis pas trop mécontente, vu la difficulté que j'ai mis à la pondre.
Et j'ai un problème avec les bébés et les enfants (Crys en témoignera) alors plutôt qu'être frustrée en plein parcours à vouloir en caser, autant partir avec. LOL