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 from the land of the lions

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Iwa Kibembe

My Own Private Idaho

Iwa Kibembe

Messages : 54
Date d'inscription : 10/10/2010

from the land of the lions _
MessageSujet: from the land of the lions   from the land of the lions EmptyDim 10 Oct - 19:09



    DANS-JEU ; L'imagination gouverne le monde (Napoléon)
    ...


IDENTITY CARD


from the land of the lions Blogcorazon.com.wp-content.uploads.2009.11.EmanuelaDePaula_-100x100NOM : Kibembe
PRENOMS : Iwa Nastassia.
DATE (Âge) & LIEU DE NAISSANCE (Etat) : 2 février 1985 (25 ans) à Iwa (République démocratique du Congo)
TAILLE & POIDS : 1m78 62 kg
EMPLOI/ETUDES : Serveuse
GROUPE : The Citizens

Iwa est le nom d’une ville de la république démocratique du Congo. Celle où son père est né et a grandi. Celle également où ses parents se sont rencontrés et où elle-même a vu le jour. Nastassia est le prénom de sa grand-mère maternelle. Iwa est très fière de porter ces deux prénoms, même si le second a récemment pris un sens différent pour elle.



WRITE TIL THE INK FADES —

CHAPTER 1 – HEART OF A LION

Au milieu d’une savane dorée sous les rayons brûlants du soleil résonnait un rire cristallin et candide. Un rire d’enfant, simple et innocent. En toile de fond, celui d’un homme et un autre, celui d’une femme. Au loin, des lions qui cherchaient l’ombre d’un arbre. Les lionceaux, à moitié endormis, cherchaient encore à s’amuser entre eux. L’enfant, assise à l’arrière de la jeep de ses parents les observait de ses jumelles. Elle avait 4 ans et elle connaissait déjà tous les animaux de la réserve naturelle où ses parents travaillaient. Elle n’avait peur de rien. Le soir, elle donnait le biberon à un lionceau orphelin et elle s’endormait, ses petits doigts emmêlés dans la fourrure du félin.

La jeep redémarra, l’inspection était terminée. Elle ne quitta pas la bande de lions des yeux. Lorsque le véhicule fut trop loin et que ses jumelles ne lui permirent plus de les voir, elle se rassit sur son siège. De sa petite voix, elle s’adressa à ses parents, en français :
« Est-ce que Bongo rejoindra les autres lions quand il sera grand ? »

Sa mère acquiesça et allait lui expliquer qu’ils ne pouvaient pas garder un lion adulte au village quand la petite fille continua.

« On pourra encore venir le voir, hein, maman ? »

Sa mère sourit. La petite fille avait un cœur débordant d’amour. Elle avait toujours été ainsi et il n’en serait probablement jamais autrement. Elle savait également que rendre Bongo aux siens lui ferait beaucoup de peine. La petite fille s’était attachée au lionceau. La jeep cahotait dans la savane. La petite fille scrutait le ciel, les yeux rêveurs. Son regard s’attarda sur un vol de vautours puis, accablée par la chaleur, elle finit par s’endormir. Son père jeta un coup d’œil attendri sur sa fille, puis sur sa femme. La petite famille n’aurait pu être plus heureuse. Le véhicule rejoint le village et lorsque le moteur fut éteint, la petite fille ouvrit les yeux. Elle sauta en bas de la Jeep et fila jusqu’à l’enclos de Bongo. Elle sautilla pour ouvrir le verrou et fonça sur le lionceau. Elle s’assit à ses côtés et se mit à le caresser. Lorsque ses parents arrivèrent, ils la trouvèrent en plein conversation avec le félin.

« Aujourd’hui on a vu de grands lions. Toi aussi tu seras grand un jour. Et tu auras une grande crinière. Maman a dit qu’on ne pourrait pas te garder avec nous. Mais on viendra te voir. »

Les parents, enlacés au bord de l’enclos, contemplèrent leur fille pendant de longues minutes encore. Le soleil ne tarderait pas à se coucher, et il faudrait la tirer de force des pattes protectrices de Bongo.

Iwa, c’était son nom. Et cette petite princesse d’Afrique portait définitivement bien son nom.


CHAPTER 2 – THE LION DIED TONIGHT

Un vacarme et des lumières aveuglantes sortirent la petite Iwa de son sommeil. Elle se releva dans son lit et vit de la lumière filtrer à travers les planches des volets. Elle entendit des voix d’hommes. Ils étaient en colère. Elle serra contre elle sa peluche. Derrière sa moustiquaire, elle aperçut une silhouette massive traverser le couloir jusqu’à la chambre de ses parents. Elle entendit sa mère hurler et son père crier. Elle se cacha sous son lit et retint sa respiration. Elle serrait sa peluche si fort contre son cœur que ses doigts lui faisaient mal. Elle fermait les yeux et se forçait à ne pas pleurer. Elle entendit sa mère hurler son nom. Une main agrippa son petit bras et la tira de sa cachette. Elle se mit à crier. « Maman, Papa ! » En réponse ne vinrent que les cris de détresse de ses parents. L’homme la traîna jusque dehors où il la laissa tomber dans la terre sèche et froide. Elle ne comprenait pas ce qu’il arrivait, mais la peur lui vrillait le ventre. On traîna également ses parents dehors et sa mère la prit dans ses bras. Elle avait les joues trempées de larmes. Elle n’avait même plus le force de crier ou de supplier.

Et puis une grande lumière embrasa la nuit. Les hommes avaient mis le feu à la maison. A genoux sur le sol, ils regardèrent leur maison partir en fumée. Leur détresse était sans nom. Mais on ne leur laissa pas de répit. Un grand homme attrapa le père d’Iwa. Il parlait dans une langue que ni la petite fille, ni la mère ne comprenaient. Le père, lui, semblait comprendre. Ses yeux s’ouvrir grand et il se mit à pleurer. C’était la première fois que la petite fille voyait son père pleurer. Ensuite il baissa la tête et demanda pardon en russe. L’homme qui l’avait attrapé par le bras lui trancha la gorge. Le sang gicla et éclaboussa la mère et la fille. Les hommes reprirent leurs jeeps et filèrent dans la nuit. Iwa ne quittait pas son père des yeux. Son souffle était rauque et une mare de sang s’étendait sous son grand corps massif. Il était agité de soubresauts. Sa bouche semblait vouloir dire quelque chose, mais il n’y parvenait pas. La mère pleurait et hurlait en essayant de boucher la plaie. Elle criait à Iwa de ne pas regarder, mais la petite ne parvenait pas à lâcher le regard de son père et ses yeux exorbités. Du haut de ses huit ans, elle n’avait rien pu faire.

CHAPTER 3 – COLD HEARTED RUSSIA

Dans l’ambassade russe à Dodoma, en Tanzanie, la chaleur était pesante et étouffante. En plein cœur du mois de juillet, même la climatisation ne parvenait pas à rafraîchir les pièces. Iwa attendait, assise sur les genoux de sa mère. Elle respirait difficilement, malgré qu’elle ait passé toute sa vie en Tanzanie. Elle était malade et sa fièvre ne la quittait plus depuis quelques jours. Genia avait tout essayé pour guérir sa fille. Les médecins ignoraient les raisons de ces poussées de fièvre. Alors elle baignait Iwa dix fois par jour dans de l’eau froide. Rien n’y faisait. Les remèdes traditionnels africains ne pouvaient rien non plus contre son mal. Génia désirait désespérément rentrer en Russie, là-bas peut-être, les médecins la guériraient. Elle avait fait une demande pour pouvoir revenir dans son pays. Depuis la mort de son mari, elle vivait dans la peur. Elle avait quitté le petit village de Magara (Burundi) où ils vivaient, ne pouvant plus supporter de voir les cendres de leur maison. Et puis elle guettait le retour des assassins de son mari. Pour la sécurité de sa fille, elle devait rentrer au pays, l’emmener loin d’ici. Elle savait que ce serait difficile pour la petite qui avait toujours été habituée à la vie en plein air, au soleil et aux animaux sauvages. Elle aurait probablement beaucoup de mal à s’habituer à l’environnement froid et peu accueillant de la Russie. Et de surcroît à la Sibérie. Génia avait économisé pour le billet en direction de Omsk. Elle ne disposait pas de beaucoup plus d’argent. Heureusement, sa mère les aiderait, là-bas.

Le guichet finit par s’ouvrir. Génia et Iwa attendaient depuis deux heures parmi d’autres personnes. Leur tour vit et, le cœur battant, la trentenaire emmena sa fille vers le bureau. La dame portait un chignon strict qui la rendait hautaine. Elle toisa la mère et regarda sa fille malade avec un air condescendant. Elle fouilla dans les dossiers un moment et jeta un regard arrogant à Génia.

« Voici vos papiers. Ils sont en règle. »

Génia soupira de soulagement. Elle attrapa son passeport. SON passeport.

« Attendez, et où est celui de ma fille ? »

La fonctionnaire soupira d’exaspération.

« Madame, votre fille n’a pas la nationalité russe. Elle ne peut pas obtenir de permis de résidence. »
« Mais enfin, c’est ma fille ! »
« Elle n’est pas russe. Elle est née en République démocratique du Congo. »
« C’est ridicule ! Pourquoi elle ne pourrait pas venir avec moi ? »
« Je vous le répète, madame, elle n’est pas russe. »
« Eh bien donnez-lui la nationalité. Je vais remplir les papiers. »
« Ce n’est pas aussi simple. Vous auriez dû faire la demande à sa naissance. »
« C’est ridicule ! Je veux voir l’ambassadeur ! »
« Il n’est pas disponible. »
« C’est ma fille ! Pourquoi ne pourrait-elle pas avoir la nationalité russe ? Dites-le-moi ! »
« Madame, calmez-vous. »
« Me calmer ? Vous plaisantez ? Ma fille obtiendra son permis de résidence ! »
« Je vais vous prier de sortir, Madame. »

Génia se leva et emmena Iwa, fiévreuse. La petite fille avait maintenant près de dix ans. Elle avait besoin d’un environnement stable. Et de la stabilité, elle n’en trouverait qu’en Russie. Pourquoi lui refusait-on de l’emmener en Russie avec elle ? De quel droit ?

Malgré toutes les demandes, Génia n’obtint jamais ce qu’elle désirait. Jamais Iwa ne put devenir russe, ni même obtenir un visa. Était-ce trop demander ? Elle se résolut à l’emmener en Amérique, dans un pays qu’elle-même ne connaissait pas. Mais l’Amérique était une terre d’accueil, non ? Un pays d'immigrés où elles pourraient se sentir "chez elles" ?

CHAPTER 4 – THE NEW WORLD

Dans la petite chambre qu’elle partageait avec sa mère, Iwa se tournait et se retournait dans son lit. Demain, elle entrait au lycée de son quartier de Miami et la peur l’avait empêchée de manger toute la journée. Elle avait beau faire semblant d’être une gamine sûre d’elle, elle n’avait que 14 ans et avait voyagé toute sa vie. Elle ne savait pas si elle resterait à Miami très longtemps. Mais l’inscription au lycée était un pas. Sa mère semblait avoir trouvé un endroit où elle se sentait bien. Ce n’était plus arrivé depuis la mort de son père. Iwa avait toujours dû faire face et suivre sa mère, où qu’elle aille. Elles avaient parcouru un certain nombre de villes aux Etats-Unis sans jamais s’y installer plus de quatre mois. Cela faisait deux mois qu’elles étaient ici, deux mois qu’elles vivaient à deux dans ce trou à rats, mais deux mois qu’Iwa voyait sa mère sourire. Elle avait trouvé un travail de caissière et son patron parlait déjà de la faire monter en grade. L’adolescente savait à quel point sa mère avait dû mettre sa fierté de côté pour se résoudre à travailler comme caissière. Elle avait un diplôme de biologie et elle avait vécu une dizaine d’années à observer des animaux dans la savane. Son job était bien loin de celui de caissière. Mais pour la première fois depuis la mort du père d’Iwa et depuis leur fuite désespérée hors d’Afrique, Génia réapprenait à sourire. Elle s’était fait des amis parmi les voisins, qui s’étaient montré particulièrement généreux envers elles deux. Miami semblait bien être l’endroit rêvé pour Génia. Elle s’était remise à prier, le soir, avant de se coucher. Elle remerciait le Seigneur. Chose bien nouvelle chez elle.

CHAPTER 5 – NEW DIRECTION

Assise seule à la gare des bus, Iwa grelottait. Elle avait fait ses valises le jour-même et avait dû retirer de l’argent de son compte pour prendre l’autobus jusqu’à Orlando où elle partait s’installer. Pour combien de temps, elle n'en savait rien. Elle avait terminé le lycée, elle avait 18 ans. Son futur était encore incertain, mais elle savait qu’elle voulait continuer des études, ne pas s’arrêter là et croupir dans un job qui paierait à peine ses factures. Elle devrait travailler, c’était inévitable. Les études coûtaient cher. Et sa mère voulait rentrer en Russie, elle ne voulait plus la voir, elle cette « petite traînée ». Iwa ignorait si elle la reverrait. Sa grand-mère maternelle était malade et Génia voulait s’occuper d’elle. Mais Iwa n’avait pas les papiers russes, et puis elle s'était fait violée à la soirée de gala de son école, c'en était trop pour sa mère qui ne pouvait ou ne voulait comprendre. Tout ce qui importait pour elle, c'était que sa fille avait eu des rapports sexuels avant le mariage. Qu'elle ne les avait pas désirés n'était qu'un détail. Maintenant Iwa était une petite salope comme toutes les autres. Elle l'avait mise à la porte sans un brin d'hésitation.

Le bus arriva et les passages embarquèrent. Iwa s’installa à sa place et ferma les yeux. Une larme roula sur sa joue. Est-ce que sa mère viendrait lui dire au revoir avant de repartir là-bas ? Elle en doutait. Génia n’avait jamais aimé les adieux et elle était probablement trop en colère pour cela. Elle appuya le front contre la vitre froide de l’autobus. Lorsque le véhicule se mit en marche, Iwa crut apercevoir la frêle silhouette de sa mère au détour d’une rue. Mais peut-être était-ce juste une illusion.

CHAPTER 6 – MAYBE IT'S WHERE I BELONG

Après 7 ans d'errance, 7 ans de voyages, de déménagement, d'instabilité, Iwa se fixa finalement dans une petite ville d'Idaho. Elle était détruite, ravagée par son histoire, ses galères, son passé. Ses cauchemars avaient recommencé. Chaque nuit, elle sentait l'odeur de cet homme sur elle et elle se réveillait en sursaut. Chaque nuit, elle luttait contre la peur avant de s'endormir. Mais c'était finalement à Ruby Creek Falls qu'elle avait retrouvé la paix. Ici, personne ne la retrouverait. Qui viendrait la chercher ici?

Elle avait coupé tout lien avec ses amis de Miami, elle avait tout simplement disparu de leur monde. Ils lui rappelaient trop ce qu'elle avait enduré lors de ce bal de promo. Surtout que personne n'était au courant de son viol. Encore moins de son avortement. La pauvre avait découvert avec horreur qu'elle était enceinte et aussi difficile que cela fut pour elle, elle ne pouvait garder cet enfant. Elle ne pourrait jamais l'aimer comme il se devait. Elle n'avait pas de nouvelles de sa mère non plus. Elle avait renoncé à en chercher, à même en demander. Si cette femme si croyante avait pu abandonner sa fille sans ciller alors qu'elle était en difficulté, elle ne méritait certainement pas qu'on se soucie d'elle. Et pourtant, Iwa se prenait parfois à rêver à la vie qu'elle aurait eue si elle avait pu partir en Russie avec sa mère, rejoindre cette patrie dont elle avait entendu des milliers de choses.

Si elle se sentait bien à Ruby Creek Falls, Iwa n'en n'oubliait pas moins qu'elle n'avait aucun diplôme, aucune qualification, si ce n'était un job ou deux en tant que serveuse, vendeuse ou autres petits métiers qui ne rapportaient guère. Mais elle se trouva tout de même une place de serveuse dans un restaurant « chic » de la ville qui lui permit de louer un appartement plutôt correct. Ce n'était pas le grand luxe, mais elle ne l'avait jamais vraiment connu, si ce n'était sa vie de rêve à la réserve naturelle au Burundi, celle où ses parents travaillaient. Ses sept ans de galère lui avaient au moins appris que les petits bonheurs n'étaient pas liés au luxe, mais bien aux amis que l'on se fait. Et si ici elle n'était pas encore tout à fait intégrée, car encore fraîchement nouvelle en ville, elle sentait que les habitants étaient plein de générosité, sitôt l'appréhension de l'étranger passée. Son patron en était le premier exemple, c'était lui qui lui avait trouvé l'appartement. Elle était bien décidée à se refaire une vie. A repartir de zéro où on ne savait rien d'elle, si ce n'était ce qui figurait sur sa carte d'identité. Ici, elle n'était pas la pauvre enfant dont on avait tué le père. Elle n'était pas l'adolescente traînée d'une ville à l'autre par sa mère incapable de se fixer. Elle n'était pas la terminale qui s'était fait violée sur le parking de son lycée le soir du bal de promo. Elle n'était pas celle qui avait dû avorter dans une clinique de bas étage parce qu'elle n'avait pas les moyens de se payer de véritables soins. Elle n'était pas celle qui avait de grands rêves effondrés. Ici, elle était Iwa Kibembe, serveuse « Chez Pierre ». Et c'était bien mieux ainsi.

    HORS-JEU ; Show us your true colors
    ...


Honnêtement, j'ai encore besoin de le dire? =)




Dernière édition par Iwa Kibembe le Dim 10 Oct - 19:28, édité 1 fois
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Tallulah Ayasha Whitehead

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MessageSujet: Re: from the land of the lions   from the land of the lions EmptyDim 10 Oct - 19:11

COMMENT TU TRICHHHHHHHHHES !


Pas-bienvenue pou rla peine I love you
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Iwa Kibembe

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Iwa Kibembe

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MessageSujet: Re: from the land of the lions   from the land of the lions EmptyDim 10 Oct - 19:15

Hé je dois bidouiller un peu la fiche.
Pis elle était tellement cool, ça m'aurait fait mal de devoir la recommencer :gla:
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Tallulah Ayasha Whitehead

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Tallulah Ayasha Whitehead

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MessageSujet: Re: from the land of the lions   from the land of the lions EmptyDim 10 Oct - 19:17

Oui, j'avoue. J'avais adoré la lire (l)
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Iwa Kibembe

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Iwa Kibembe

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MessageSujet: Re: from the land of the lions   from the land of the lions EmptyDim 10 Oct - 19:34

J'ai finiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii :gla:
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Effie Whitehead

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MessageSujet: Re: from the land of the lions   from the land of the lions EmptyDim 10 Oct - 19:49

I love you
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Iwa Kibembe

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Iwa Kibembe

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MessageSujet: Re: from the land of the lions   from the land of the lions EmptyDim 10 Oct - 20:33

*-*
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Virginia Callaghan

over the rainbow •• But you don't really care for music. Do you ? (Bitchy admin)

Virginia Callaghan

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MessageSujet: Re: from the land of the lions   from the land of the lions EmptyLun 11 Oct - 20:11

Ahah ! Elle est serveuse au même endroit que Grace (a)

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MessageSujet: Re: from the land of the lions   from the land of the lions Empty

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